10:10 Oui proposer pour aujourd'hui c'est hop. Bon c'est la suite de ce qui s'est passé hier en fait alors on continue donc deux mois. Vous avez proposé des exercices d'observation parce que discuter. On a parlé beaucoup hier de protocoles. Sur mon carnet de quoi protocole est-il le nom? Parce que c'est pas si simple et c'est aussi c'est ça qui est intéressant. Je crois que je voulais des discussions. Je me suis dit que c'était bien qu'on se rappelle. Qu'est-ce qu'on faisait là et qu'elle était un peu des objectifs comme c'était? Enfin, c'était fixé et donc l'idée c'est vraiment. C'est de se réunir autour de cette rivière de l'observer de l'observer par différents moyens et par les différentes sensibilités que nous avons quand même personne ici quand on ne peut faire et à partir de ces sensibilités de proposer aujourd'hui des tentatives. À partir de évidemment très modestement. On est passé que deux jours mais on a quand même être une série d'informations à la fois sensorielle à la fois. Une scientifique à la fois dans le dialogue qu'on a mis en place les uns avec les autres. Mais moi je sais pas vous. Mais j'ai l'impression de commencer à y voir un peu plus clair avant d'arriver il y avait ce Boiron et puis on se voyait pas trop. Ça fait pas beaucoup plus mais j'avais parcouru la carte parce que c'est une façon de faire. Peut-être que d'autres l'avaient fait autrement. Je sais pas si vous aviez cherché des choses ou pas du tout d'ailleurs peut-être mais en tout cas c'était là. Ça fait deux jours qu'on est là avec des manières très différentes. Des approches très différentes. On commence à avoir eu des idées et puis et puis peut-être des envies. Et donc cette histoire de mot protocoles qu'on a mis qu'on a mis là dessus. C'est plutôt de dire aujourd'hui. On se donne une journée entière par personne ou par duo ou même en équipe plus large en fonction de ce qu'on va se raconter de faire de tenter une forme ou une autre de matérialisation de ce qu'on a ressenti et compris de la de la rivière. Et parce que l'idée c'est de pouvoir demander de partager aussi avec avec Damien et Jean-François qui eux nous ont fait un temps de partage assez généreux et donc c'est une manière aussi de leur rendre de donner un peu de monde. Une forme réciproque. Plus restons modeste, on connaît pas la rivière donc d'interprétation finalement de ce qu'on a vécu. Ici nous sommes et comme c'est quand même très vaste et que l'on n'est pas encore monter dans un vrai projet qui devrait plusieurs mois, comment réduisant par des thématiques qui nous sont propres? On arrive en une journée à émettre une proposition qu'on partagera demain matin ça fait beaucoup. Ouais c'est méga ambitieux ça peut être c'est vraiment c'est le mot tentative. Moi je l'aime bien. J'ai une tentative c'est pas un. C'est pas un produit fini. C'est tout sauf un produit fini qui m'intéresse. C'est pas tant le produit fini mais c'est comment on y arrive et donc là c'est presque une d'initier quelque chose qui après ça pourrait vous donner envie de revenir et de le développer. Ce serait formidable mais c'est pas. On se donne pas des ambitions trop vastes et on voit ce que ce que ça donne mais c'est surtout pour la même manière que hier on a partagé des choses qu'on avait déjà fait. Et ben demain on va partager des manières qu'on a de commencer quelque chose et pas forcément de fille. Enfin bref ça c'est mon grand truc que je finis jamais rien. D'avoir une micro initiative qui sera forcément incomplète et c'est en fait la somme de ce qu'on va. On va mettre en commun qui qui déjà donne pas quelque chose d'un peu plus. Et donc pour ça moi pendant discuter après peut-être faire un tour de table des idées. J'avais déjà eu de s'organiser pour savoir les endroits. On a envie d'aller pour voir si ça colle aussi avec les voitures les Antilles timing aujourd'hui des conférences des uns des autres et par ailleurs la deuxième chose que que je voulais en fait au départ je m'étais dit. On va tous ensemble relever la rivière qui. En fait on a déjà fait et et donc moi donc des choses que je voulais vous proposer c'est de réaliser une partie intellectualité. Peut-être avant de vous dire que j'étais très intriguée par ce cours vivant. J'ai fait, j'ai pris une carte vierge. Donc ça c'est quelque chose un peu en plus parce que vraiment toujours plus de son choix. Ici c'est l'embouchure. Là c'est la source et là c'est le grand marais ce qui se passe au milieu. On n'y a pas trop été mais c'est un objet de fantasme du coup d'ailleurs c'est marrant. Je sais pas si vous vous souvenez mais Damien à chaque fois il disait le haut le bas le milieu. Il divise vraiment cette rivière en froid et donc moi ce que je vous propose un peu sur cette donc ça c'est celle que j'ai fait pour moi. J'avais préparé aussi un pont à l'avance. J'ai un peu déliré sur le rose. Donc un peu sur ce sur ce type de base. Moi ce que j'aimerais c'est récolter vos vos paroles récolter vos souvenirs parce que vos ressentis des endroits qui vous ont marqué et de les retranscrire sur cette sur cette carte plus grande parce qu'ici c'est que ce que j'ai vécu moi et là ce serait ce serait la carte de notre de notre de notre moment collectif. Voilà donc ça c'est le. C'est un protocole que je vais mettre en placement aujourd'hui. Aussi, je sais pas encore, je vais peut-être la continuer avec les expériences que je vais mener aujourd'hui. Et ici ce serait la somme de toutes nos expériences en fait, mais ça c'est peut-être au fur et à mesure de la journée je reviendrai vous voir me demander de participer, peut-être de récolter ça sur dans mon carnet. Donc je suis pas sûr que j'aurai fini ce soir. En fait celle-ci sera peut-être mais elle sera peut-être finie plutôt après peut-être en forme en fait pour que ce soit unifié non. Mais est-ce que soit ça sert de support et chacun vient à écrire? Ce serait en fait encore plus facile pour moi et il faut que vous vous sentiez. On a trois cochons qui peuvent des cochons des messages anciens. En tout cas ce sera pas comme ça, c'est clair. Avoir une base qui est une personne qui écrit dessus et peut-être qu'après par effet de collage, on peut venir apporter des éléments qui sont des éléments d'autres personnes et du coup qui se distinguent soit par la couleur du papier sont ou par collage comme tu viens de dire aussi bon. En tout cas ça va, ça va se fabriquer au fur et à mesure de la journée. Et même n'hésitez pas si un moment je suis pas là mais que vous avez une idée ça peut être écrit sur un petit bout de papier et coller là avec du scotch un endroit qui correspond. Ça serait pas mal comme ça toi et je retranscris on peut. Mais je crois que céder comme ça ce serait le mieux. Je pense c'est cool que ce soit. C'est plutôt le ces protocole de la journée que de mise en commun de nos idées. Et oui vous avez des questions. Peut-être là dessus ou ça vous nous sommes clairs faut juste je me demande il y a l'enjeu de créer une publication? Vous avez dit au début de ce workshop, je balance ça comme ça mais toi? Parce que là je regarde c'est vide quelque chose qui se révèle. Bref, pour la publication n'est pas encore complètement sûr parce qu'on attend aussi un financement d'un autre d'un de Emmanuel Queens de bourse de rareté et puis qui veut créer des petits livrets et tout ça. Puis vous venez nous mettre dans la boucle et je me dis si ça se trouve. On va avoir un peu une obligation de temps mais clairement des choses pliées. Tout ça peut être aussi génial, même dans un format en tout cas. Enfin moi ce que j'aimerais c'est que ça devienne vraiment de choses qu'on sur le terrain sur le sur ces questions de sur la rivière. Qu'est-ce qui s'est passé et vous voyez ça déborde? Parce que par exemple là le milieu on n'y a pas été mais j'en ai profité pour dessiner mon ami trutta que Stéphane De lâcher prise aussi voilà et donc s'il y a pas de questions là-dessus. Effectivement je pense qu'on va prendre des feuilles qu'on va les laisser là et que au fur et à mesure que vous avez des idées vous pouvez les poser avec un bout de scotch et après là on peut faire un petit tour de questions de ce qu'on a prévu. Moi j'avais envie alors je vais noter comme ça. Je voulais déplacer furtivement des éléments et donc en fait j'avais envie de repartir de l'embouchure et de prendre. Je voulais embêter un peu la rivière. Euh remonter le courant et prendre des choses que la rivière avait emmené à l'embouchure et de les remonter plutôt à ce niveau là où il y a les Confluences et au fur et à mesure de ma marche qui remonte vers les Confluences d'échanger des objets que je trouve et les documenter peut-être faire des choses en anglais. Aussi, il y a pas mal de glaise dans l'embouchure. Là j'ai vu et je pensais faire des des objets qu'il faut lui ressembler à ceux qu'on avait sur les sur les coloriages. Des éléments pour pour la journée. Faites le rond. Là c'est des extraits de et c'est ça. Tout bête mais tu peux le mettre avec un téléphone. Microscopiques. C'est un objectif photo en fait. La texture de la table? Fascinant c'est peut-être mon téléphone qui est pas bien focus. Et c'est toujours tout ronde du coup ouais. Et donc en fait tu peux. C'est ça que j'ai essayé de mettre dans les images. C'est que tu crées des sortes de minimum à l'intérieur du de l'image quoi. Bref voilà l'objectif téléphone voilà donc c'est ça ce que je vais faire ce matin et c'était pour ça que je te posais la question du déjeuner parce que pour remonter jusque là je pense que j'en ai quand même pour 1h30. Peut-être qu'une oui le temps de redescendre, je serai peut-être pas de retour à 13h. Tu peux remonter d'ici jusqu'au maximum et il me disait que la confluence elle était juste après l'autoroute. Je voulais aller jusqu'à l'autoroute, c'est sûr après le temps de ramasser des objets donc je pense. Oui j'en ai pour une heure et demie et après pour redescendre peut-être un peu moins sauf si je fais aussi dans l'autre sens redescendre des choses et alors pourquoi je fais ça? C'est une bonne question. 10:27 C'est une bonne question. 10:27 M'a marqué cette histoire où il disait qu'il y avait des pollutions qui étaient remontées et qui avait tué les écrevisses quand même là-haut et du coup finalement de dire que même des choses qui sont invisibles ne sont pas anodines et c'est une manière de les de montrer tout en restant évidemment dans les zones où je veux pas aller polluer et tuer les écosystèmes. La Ligue la Ligue anti-écrémiste même en déplaçant des choses qui sont du genre c'est naturel. En fait c'est ça a toujours un impact. Moi ça me questionne beaucoup ce rapport qu'on a aux envahisseurs. Enfin il y a un truc comme je sais pas mais moi ça me questionne toujours dès que tu as des termes aussi fort que ça. Bah moi ça me moi je suis humain donc ça me rappelle vers la politique que qu'est-ce qui est locale pas local? Quelle notre influence avec le rapport au monde extérieur et du coup je me dis toujours un peu genre en même temps c'est la marque de la nature c'est-à-dire de se déplacer de migrer et qu'en fait qui on est pour dire que tel écrevisse est meilleur qu'une autre, c'est un peu bizarre, quoi invasive c'est généralement des espèces ont été introduites par l'homme qui ont créé un déséquilibre dans l'écosystème en place quoi. Mais après les critères par contre dans la ville sont très subjectifs qui sont tamponné par les dreals et parfois dans d'autres contextes, j'ai vu que des espèces avaient été déclarées invasives alors que c'était plutôt lié à une mauvaise. Enfin, par exemple espèce végétale et alors qu'elle n'était pas invasive au sens de leur manière de se répandre, mais plutôt qu'elles étaient invisibles parce que l'humain n'était pas capable de le de l'entretenir une personne que j'aime trop qui s'appelle Liliana, Motta paysagiste qui a bossé toute sa vie sur la question de la plante indigènes, plantes, invasives etc. Et qui a fait complètement parler avec ces histoires à elle migratoires quoi et trop intéressant. Elle a eu un jardin un moment donné avec que des plantes. Dites et globalement c'était effectivement. C'est un truc autour de la plante qui était dans le jardin là où on ne veut pas qu'elle soit la faute a été ramenée d'ailleurs etc et là elle vient de publier. Après je sais pas où il en est mais elle me l'a envoyé. Je peux partager sans dire trop diffusé quoi mais avec un texte sur justement les origines de la question avec la question coloniale dedans donc c'est super passionnant en tout cas. Du coup elle revient aussi sur les jardins coloniaux et aller essayer de relier tous ces trucs de jardin précédent avec les pratiques coloniales et les choix en fait plutôt un dénaturalistes aussi très entendu dans les discours et majoritaire quoi. Et du coup c'est partout on avait montré un projet qui montrait comment la notion de invasive et culturelle et il y a un exemple qui est le trafical qui a une espèce de palmier qui a été introduit dans le nord de l'Italie dans les Alpes. Il arrive à pousser dans les Alpes. Il est devenu invasif et il est considéré invasif donc on est au sud tirol dans les dolomiers il est considéré invasif partout sauf dans une ville mais à un an ou c'est devenu un fait touristique. Mais voilà une ville liée au bien-être. Enfin, une ville de italienne et le palmier est devenu une feature du paysage qui est représentée sur les cartes postales avec la neige et le palmier qui est affirmé comme une caractéristique du paysage de merano. En dans les communes limitrophes, le trachical pousse est considéré comme invasif de comprendre comment l'invasifitness n'est pas non plus un fait national mais même un niveau régional. Il y a des choses qui diffèrent et c'était un petit exemple. Juste donc ça dépend de notre sensibilité de notre intérêt. Aussi tu vois économique de déclarer ou pas? Invasif il y a d'ailleurs des pays qui gèrent la question de la magie de manière différente en nouvelle dans les pays insulaires souvent à des listes de plantes qui sont acceptées. Tout ce qui est pas sur cette liste ne peut pas rentrer tandis qu'en Europe par exemple. On allait noir donc des listes de plantes qui ne peuvent pas être introduites. Donc l'approche est complètement différente. Tu as une liste de plantes? Tu peux pas être introduite et une liste seulement des plantes qui peuvent être introduites et en fait le test se fait sur le temps. Euh en Europe d'une plante qui arrive qui n'est pas sur cette liste et qui le devient par l'expérience dans la voiture dans la deuxième voiture. Jardin d'Acclimatation à Paris comme étant un jardin ou en fait on acclimaté les plantes ou les espèces extérieures pour voir si ça prenait bien. Donc on voit que dans le temps en fait dans historiquement, c'est pas du tout la même relation. Après c'est un rapport très colonial aussi aux plantes qu'on allait prendre puisqu'on avait ramener en France pour voir si elles allaient prendre questionne. Mais je me dis vraiment sur ce sujet sur on vient d'apprendre que en effet c'était un problème daté qu'on sait qu'il y a une RIA à la phase du lac il y a un problème Machin Truc. Enfin, tu dis ok mais c'est cool. L'humain reste ses propres problèmes. Il y a quelque chose de presque d'une boucle infinie. Je trouve du problème qui redevient un problème qui on règle par un autre problème qui je sais pas comment je pars chez moi. En fait c'était plutôt les pas. La question des écoles c'est la question des sangliers, la prolifération des sangliers, les sangliers qu'on a qu'on a réimporté d'autres endroits d'Europe et du coup ils sont disent qu'il y a un truc incroyable plutôt d'indre-et-loire donc d'origine et descendu il y en a partout. Maintenant c'est avec des grosses bêtes. Quoi vraiment partout? Situation de connaissance, c'est-à-dire qu'en fait à partir du moment où on a développé la question de la fin de la connaissance scientifique, il y a comme une sorte de modèle d'idéal type qui apparaît. En gros on peut discuter de version possible du monde quoi parce qu'on a la conscience de comment c'était à une époque. Comment c'est devenu etc? Et et à partir de ce moment c'est comme s'il y avait une sorte d'arbitrage qui se faisait de là c'était le meilleur quoi? Et je trouve que ce truc là il est hyper hyper complexe. Est-ce que on s'arrête c'est meilleur? Parce que c'était là au moment où on s'est dit que c'était bien parce que en fait on laisse se faire les choses parce qu'en fait ça reste des êtres vivants qui habitent le truc. Est-ce qu'on arrête parce qu'il y a plus d'être vivant et que donc il faut régérer mais parce que on veut que ça puisse continuer de fonctionner comme écosystème et que là c'est ça en fait complètement l'écosystème. Enfin quelle est la raison pour laquelle on se dit tac là c'est bien et est-ce que c'est pas une version romantique quoi? C'est pas si simple mais moi c'est pour ça que je trouve intéressant parce qu'en fait moi je suis très face à ces questions aussi sur ce cours d'eau. J'espère que j'entends ce que Damien et Jean-François. Il me raconte j'entends le travail qui fournissent en fait sur ces questions-là. J'entends la question de la préservation de d'améliorer aussi. Le bien-être d'un cours d'eau en fait et en même temps, ça me pose des milliards de questions de permettent de rapport à l'articalité à notre rapport technique quand même on continue. J'espère que il y a un problème, on va le résoudre par plus de techniques. On est en train de préserver une fiction parce qu'on laisse pas des agents extérieurs. Ils pénétrer il y a un botaniste Jacques façade qui parle des plantes invasives. Il est mécanisme de spécialiste sur les plantes comme en fait des exemples de résilience dans le changement climatique. En fait, des exemples à regarder parce que c'est potentiellement les espèces qu'on va côtoyer dans le futur en fait dans des environnements changeants et du coup il a été beaucoup détruit lui dans son travail par rapport aux abrasifs parce que d'une certaine manière il l'accueille tout venant dans un paysage en disant voilà si cette plante elle est arrivée. C'est bien. Il y a les conditions pour il se confondent bien sûr à des questions de préservation dans l'écosystème. Qu'on peut pas mettre les pieds dans l'eau parce que on va tuer des écrevisses et du coup ce potentiel dangereux. J'arrive déjà pas à me le représenter parce que c'est pas dans ma psyché de d'humains. Quoi et je me dis mais c'est on pourrait on pourrait prendre l'inverse en disant mais peut-être qu'en fait il faut que cette espèce elle envahit vraiment parce qu'elle va te proliférer qu'il y aura d'autres écrevisses, ça va être super. On va peut-être même pouvoir les repêcher en remanger en refaire un petit plat local et. Lesquels? Du parc alors que l'autre se fait dégommer par des infrastructures industrielles et voilà c'est la même montagne quoi et là c'est pour ça. Les agriculteurs on a beaucoup parlé c'est quand on était devant ce champ et qui disent ici c'est une rivière et ils sont trop fiers d'eux et que tu regardes et puis tu vois les vaches. Et puis tu vois le gars qui doit sûrement être en train de gagner sa croûte en faisant de la viande du lait ou je sais pas quoi et je me dis mais c'est comment les gens peuvent adhérer à une fiction durablement comme ça alors que une partie du maintien des écosystèmes si elle ne nous met pas dedans c'est de l'environnementalisme mais c'est pas de la mésologie. Enfin c'est pas du travail de milieu dans lequel du coup nous on est concerné par la chose en elle-même quoi et moi j'avais trop vite par petits sur cet endroit. Là où il parle du design des milieux, je fais et lui il est trop fort sur ça elle dit bah en fait si on est sur design de l'environnement alors on reste hors de la chose et on gère. En fait, on pilote un petit peu des transformations dans l'espace dans lequel on se considère comme nous parties prenantes parce qu'il signifie aussi qu'on refuse une partie de la présence de l'humain dans ses espaces là. Victor petit et si on fait dans l'autre sens et qu'on est dans la dizaine des milieux alors bah en fait on considère que toute chose nous impacte directement et que donc du coup c'est pas des compensations carbone mais c'est bien nous dans notre propre milieu qui somme tout de suite impactés par ce qu'on fait etc enfin le texte. 10:39 Enfin le texte est beaucoup plus. 10:39 Mais mais du coup il y a une vraie grosse nuance quoi par exemple considérer que les agriculteurs travaillaient le nombre de trucs que j'ai noté en citation c'est une folie furieuse quoi alors que c'est quand même ceux qui sont en permanence au contact du territoire en terme d'approche de paysages en termes de d'exploitation et prix par contre dans les réalités économique matérielle humaine aussi qui fait que je trouvais que c'est je pense d'ailleurs qu'en fait c'est surtout le enfin moi de ce que je vois là c'est surtout pas d'opposer. Le problème c'est que les oppositions elles arrivent super vite et et en fait je pense que plus j'avance. Je me dis ma position. Pardon de designers là dedans d'aller voir en fait d'observer le questionner de pas faire prendre position forcément pour un ou l'autre parce que de faire juste émerger toutes ces approches. Là je pense aussi important que que à savoir scientifique. Par contre ils sont incapables d'expliquer comment? Et ça c'est intéressant. C'est à quelque chose qui existe pas beaucoup. Aussi dans cette parole là tu vois le les savoirs locaux après Jean-François et Damien genre j'ai pas la pierre qui sont les pères quand même pragmatiques et très conscient de ce qui se joue en local. Quoi ça ressemble quand même assez ancrés dans leur pratique de scientifique et en cliquez pas. Ils ont dit impliqué derrière Jean-François. Je fais de la recherche. J'ai voulu faire de la recherche impliquée, il est quand même? Il est quand même dans un endroit où les scientifiques qui souvent ils s'arrêtent pas. Choisir respectives donc c'est très bien du coup aujourd'hui parce qu'en fait on en était parti sur l'idée de. Alors moi ce que j'ai compris elle c'est qu'on allait inventer des protocoles oui et puis aujourd'hui c'est en fait. On va matérialiser ce qu'on a appris de la rivière et du coup je suis là waouh attends elle a eu un comme un saut qui se fait. Je me suis dit qu'est-ce qu'on fait le mot? Protocole était devenu un peu problématique parce qu'il était pas forcément compris de la même manière par tout le monde et donc c'est pour ça que j'ai tenté plusieurs traductions. Ça veut dire la même chose? C'est un protocole d'observation dont on prend des notes et après chacun a ses manières très différentes et donc l'idée c'est de partager les notes qu'on a prises de nos protocoles d'observation. Oui demain matin c'est ça et on peut le partager sous forme orale ou sous forme performée expliquer en quoi il comprit et la fin on sent tu choisis quoi? On est vraiment chacun chacune sur OK et c'est justement c'est pas un produit fini c'est vraiment ça peut être juste une discussion juste une discussion c'est même pas juste de dire comme ça que notre discussion à peine cachée c'est qu'elle a après ces quatre jours on puisse poser un regard sur ça justement de manière plus posée sur une table avec un ordi où on va écrire un petit peu sur sur justement. Qu'est-ce que c'est observer pour nous et de montrer que les différentes approches sur ces questions-là? Si vous voulez je peux tenter moi je pense que. Maintenant que c'est un peu plus clair, j'ai compris ce qu'on disait aujourd'hui. Est-ce que on partage nos protocole? J'en ai plein en fait. Pour moi c'est un peu comme des exercices donc j'ai je n'oublie pas tout. Mais en gros j'ai une cartographie sensorielle de l'espace sonore mais donc dans l'intérieur du corps. Donc à savoir ma journée parler un peu aux personnes qui étaient là, à savoir de faire une carte des sons mais enfin ou de l'effet ou qu'est-ce que où est-ce que les sciences produisent à l'intérieur du corps et comment en gros, après je les protocolé? Voilà il y avait écoute sélective donc pareil. Écoutez tout l'espace sonore mais prendre un suivre. Un son en spécifique. Dire ok. Je vais m'attarder sur ce champ là d'essayer de comprendre les variations de ce sont au fil du temps. Et comment? Comment je peux suivre ce sont avec mon corps? Ça peut être en déplaçant dans l'espace mais ça peut être aussi en rentrant dans un mouvement, donc être plus sélectif sur le son. Après j'ai un protocole d'imitation sonore et comment de choisir un son de limiter ou d'essayer d'imiter de revenir sur ce sondresser illimité enfin de vraiment avoir un aller-retour entre écouter, essayer d'imiter, puis ensuite vraiment de tenir après c'est toujours, c'est des sons. Plutôt si possible plutôt continuer si possible qu'il se répète. C'est plus difficile avec un son qui arrive comme ça et qui repart mais comme il y en a souvent des sons continuent qui se répètent. Voilà! Ah oui et puis essayer de pareil d'observer qu'est-ce que ça fait mon ma production sonore au sein ou avec le son que j'entends? Et ensuite avec tout tout l'espace sonore, comment? Comment est-ce que je peux observer moi aussi en tant que bruit voilà et puis mais l'environnement qui te respire ça c'est ça c'est j'ai pas encore fini. Ton corps réagit moi je trouve ça fascinant parce que c'est pas ma façon d'appréhender un paysage et je trouve ça super pas super fascinant pour quelqu'un à l'extérieur de comprendre comment toi le paysage perfect. Je trouve ça c'est en live ou c'est après coup? Tu me donnes une attends là j'avais fait un petit dessin comme ça si je m'étais dit ah ben mais ce que je vais faire aujourd'hui c'est que je vais je vais je vais le faire le protocole ça veut dire vraiment avec en notant et puis enfin je vais les faire tous mais après comment le partager en fait c'est aussi ça. Ma question c'est je peux partager les protocoles en soi après. Je ferai aussi intéressant de le faire mais je me demande à quel point. Enfin, moi c'est toujours un peu ma peur, c'est comme c'est très. C'est très sensible et subjectif et un peu intangible que je souviens d'école. Les choses tangibles. Enfin c'est voilà, ça se voit. C'est genre prendre là. Je me dis waouh comment partager ça moi comment. Moi je me filme moi je me filme et ben après je je regarde et puis je dis ah bah en fait là je je vois où je sens après je sens de l'Intérieur aussi mais le fait de filmer ça me ça m'aide à revenir parce que justement cette c'est très fugace donc vous pouvez me recommander ce que tu es en train de revoir dans ton film. Je pense que faut pas la d'inventer des choses qui sont passées. Tu fais comme d'habitude mais te filmer et nous partager ce que tu as filmé. Le commenter c'est trop bien si ça te va de la carte et du dessin mais c'est pas la réponse à tout ça quoi? Non non c'est clair mais non c'était la première en fait là le fait d'avoir dit pas simplement aujourd'hui on fait les protocoles et puis on partage qu'on a appelé. OK voilà merci jette Au quotidien et nous voyons alors. Je raconte enfin je sais pas enfin. En fait je suis un peu aussi un peu perturbée mais Comment dire? Pour l'instant enfin je suis parti sur sur des exercices qu'on fait en théâtre pour pour étudier. En fait le jeu étudié un personnage ou une situation des trucs comme ça. Le problème c'est que je suis parti sur des pistes. Enfin pour l'instant j'arrive pas à savoir comment parce que j'ai vraiment besoin de enfin j'ai un peu à la fois le même problème après c'est une solution justement. Enfin le même problème poser la question. Comment je restitue quand c'est très personnel quand c'est juste? Enfin, je décris les exercices et j'explique pourquoi c'est compliqué. Donc par exemple, avec Tchekhov de des exercices de visualisation, regarder un objet, quelque chose, essayer de se le représenter mentalement donc dans une image mentale et et à partir de là. En fait, parfois partir en imagine enfin laisser l'imagination en autonomie par rapport à ça avec cette idée d'être le plus précis sur la représentation mentale en fait de de ce que j'observe pour que je bêtise. Mais ça pourrait être un champignon et c'est de le regarder avec le plus de précision possible avec ses aspérités. Et c'est de maintenir ça en fait. Et puis après comment ça a joué à le déformer, a priori essayer de voir les conséquences de ces déformations là mais ça ça me pose une question, c'est que je n'ai pas assez de connaissance de ce que ça pourrait impliquer. Je pourrais l'imaginer l'inventer mais ça c'est encore. Et sinon à côté de ça, il y a les exercices plutôt le coca mais qui sont basés sur le mouvement, c'est à dire comment on reproduit par le mouvement. En fait, ce qu'on observe donc soit regarder une un identité en mouvement. Je pourrais regarder par exemple les fameux passage qu'ils ont fabriquer et essayer de voir comment je le mets en mouvement soit en me déplaçant dans un espace soit en essayant de le jouer dans le corps. Il y a toujours une fin avec à ces exercices là. C'est de pouvoir les préparer pour donc du coup par exemple de transférer ces dynamiques là dans quelque chose de plus quotidien. Ce que j'ai expliqué un peu hier à Tom. Georges reprend la dynamique des de l'eau qui passe et je vais chercher mon café comme ça. Enfin tu vois de me laisser un peu booster comme ça et voir comment je peux le transférer dans un truc. Voilà et sinon dans un autre genre ce à quoi je pensais? Parce qu'en fait peut-être que je me complique trop la vie, mais j'ai vraiment besoin d'avoir une question ou un problème pour pouvoir appliquer. Enfin, là, si je reviens vraiment à ma pratique de base et une des questions que je me posais, c'était de savoir comment ouais comment la compréhension du geste. Parce qu'en fait, le principe c'est d'imiter quelque chose je reprends. Je vais dire une bêtise mais enfin moi ce qui m'a marqué. C'était aussi de voir comment les pratiques humaines allaient avoir des conséquences sur sur le milieu et donc d'aller chercher quelque chose de de l'ordre du geste que font les humains autour de ce milieu de le décontextualiser dans un jeu d'imitation et ce serait une manière de comprendre en fait le à la fois le geste mais pourquoi pas les conséquences et du coup ça pose une question pour moi. C'est ça marche si je dois travailler enfin un travail avec des ouvriers pour qu'ils comprennent en fait leurs conditions de travail mais là on parle d'implication sur le milieu, pas forcément sur uniquement sur les humains. 10:53 Mais là on parle d'implication sur le milieu, pas forcément sur uniquement sur les humains et. 10:53 Poser la question de savoir comment je pars de limitation d'un geste pour essayer de comprendre en fait mon environnement et des conséquences sur sur. Voilà ça c'était la première question que je me posais et et voilà et sinon voilà moi pour l'instant je me suis arrêté sur un truc je vous le raconte ça. Juste pour peut-être vous me disiez revient là-dessus parce que je suis vraiment comme ça. L'autre truc que je me suis posé comme question et c'est aussi un truc que je formulais avec toi mais je le formulais assez mal c'est j'étais vraiment marqué par la manière dont on se représente le temps et l'espace en fait c'est à dire que quand on étudie le milieu c'est un autre temps, c'est un autre espace qui va être cyclique. Et enfin tu vois ou ça se limite pas à moi mon exploitation et qu'est-ce que et ce dont j'ai besoin. Mais en fait c'est d'avoir une vision un peu plus holistique. En fait de ce qui se passe, j'ai un des protocoles auxquels je pensais pour essayer de répondre à ça. C'est de de servir de d'un environnement naturel pour y placer ma mémoire en fait pour essayer de confronter. En fait cette manière moi de d'appréhender mon monde avec mes repères et d'aller dans un environnement qui est pas du tout qu'on parle enfin qui ne présente pas les mêmes repères parce qu'il est en mouvement parce qu'il est en transformation et d'essayer d'aller poser des choses pour les fixer mais sur des éléments qui sont en mouvement en fait. Voilà c'est un peu là où je pour être honnête aussi beaucoup de choses lequel te plaît plus. Faudrait comme ça intuitivement, ce qui correspondrait le plus. Ça va? Ma pratique actuelle ce serait de placer dans des éléments de mémoire en fait dans l'espace. Voilà et tu procéderais comment pour faire ça? Choisir un endroit et soit d'aller placer en fait ce que j'ai compris de ce que nous racontait. Damien et Jean-François enfin de ce que j'ai pu récolter essaie de placer ça vraiment en essayant d'être le plus littéral possible même si les éléments justement vont pas avoir ça soit placé un peu une sorte de biographie. En fait c'est à dire de un peu ce que j'avais proposé quand on était dans la Creuse ou que j'avais posé des éléments biographiques sur des des éléments qui sont qui échappent un peu à ma compréhension, j'allais dire. Justement, je me rappelais très bien de la présentation que tu avais fait et j'avais trouvé ça super de ce qu'on avait fait un exercice d'écriture déco autobiographique c'est ce qu'on avait ramené avec Laura et tout le monde avait réagi de manière différente et c'est que zoumana. Il avait ramené cette observation du paysage dans lequel on était avec des liens de ta biographie avec des petites cartes qui étaient super la façon de m'aider ces histoires, les petites cartes, des petites photos, une méthode qui pourrait marcher ici aussi cette idée de l'archive aussi. C'est pas réplique exactement ce que tu as fait en Creuse mais pourquoi pas. Mais je vais voir que tu utilises. Je suis hyper curieuse de voir à quoi il correspond et comment? Et comment tu tu fais pour placer les choses? Je sais pas si c'est si c'est physique. Si c'est une expérience sensorielle, si c'est du texte aussi, je suis hyper curieuse de voir justement la masse que je voulais proposer. C'était très différent de ce que j'avais fait la dernière fois mais qui va sur le même principe qui est vraiment de faire une sorte de cartographie immatérielle. En fait, c'est le toit. J'ai utilisé des photos mais cette fois je vois à quoi je pensais. C'était pas forcément utiliser des photos mais nous servir de d'un espace que je vais débuter comme un palais de mémoire en fait ouais et du coup d'essayer de vraiment de dire tiens ça. Alors là pour le coup c'était pas biographique soit à quoi je pensais. Mais c'était vraiment qu'est-ce que j'ai compris de ce que nous a raconté jusqu'à maintenant? Comment ça résonne en moi? Et comment j'essaye de placer ce qui résonne en moi dans des éléments qui sont environnementaux dans lequel je vais. Non. Ça me va aussi d'aller voir ce qui se passe au milieu et je sais pas. Désolé je vais parce que je suis vraiment encore. De ces? Lance au décès. Date des sorts? Tu prends? Sans transition du coup moi je suis plutôt je suis pas encore très au clair exactement sur ce que j'ai envie d'explorer. Moi j'ai envie de tester des choses nouvelles que j'ai pas forcément faite auparavant parce que c'est la bonne occasion pour pour moi d'aller un peu trouver de nouvelles choses mais mais j'avais envie de travailler. Enfin c'est des choses. C'est sur le ce qu'on entend pas tout ce qui est inécouté inécoutée dans tout ce qu'on nous a raconté justement ce que je vous disais depuis le début. C'est une phase de ma thèse que j'aimerais bien un peu investir là en ce moment. Et l'idée je pense que la toute simple c'est que je vais aller. Je vais aller faire des enregistrements sous l'eau à différents endroits mais pour l'instant je vais faire très simple à l'embouchure ici et puis final les faire écouter en fait en extérieur dans l'air quoi. Enfin en fait faire venir écouter les enregistrements voir ce que ça produit. J'ai aussi un peu envie de. Marcher le long d'un cours d'eau et je m'intéresse beaucoup aux balades sonores enfin aux balades guidées en fait par la voix de quelqu'un et donc ça j'ai envie d'aller un peu. Peut-être écrire quelque chose, un petit, une petite balade guidée pour peut-être les deux vont être liés. Je sais pas mais dans l'idée que. Quand on arrive dans un environnement comme ici. Où est-ce qu'on regarde? Qu'est-ce qu'on regarde comment? On comprend les différentes pratiques de réalité de d'enjeux de qu'est-ce qui se passe en fait derrière en fait toujours enfin derrière la belle carte postale, qu'est-ce qu'il y a derrière? En fait? C'est un peu ça, pas forcément parler que du négatif mais de pas non plus. N'oubliez pas. Je pense aujourd'hui je vais faire les enregistrements. Écrire des choses enregistrer des choses. Peut-être que ça pourrait être même pour eux. Enfin, pour ici de créer un objet. Le principe mais à ma manière quoi et il y avait comme elle s'appelait euh à Rennes il y a une compagnie théâtre qui faisait beaucoup. Ça c'est que je sais pas si c'est toujours accompagné d'arpenteur Le directeur d'accompagner c'était Hervé lelhardeau. Si tu retrouves, moi j'avais fait des voyages sonores comme ça ou tu es arrivé, on te filer juste un Walkman. La voix du comédien qui t'accompagnait et qui te faisait cheminer. C'était dans une ferme mais je supprime où il était et c'était incroyable ouais. Enfin je lui parlais quoi par cette personne invisible. C'est une expérience. Assez moi j'en ai testé plusieurs mais après le mini protocole qu'un collectif suis soit allemand qui fait la catégorie qu'on a fait plusieurs vacances. Assez incroyable! Avait participé à une visibilité à Milan de la 7e Garibaldi. Pour ceux qui connaissent ou en fait en te donnait un casque, il y avait une voix qui te disait même comment appréhender le paysage donc courir. Du coup tu avais un groupe de 20 personnes qui se passe avec leur casque c'était presque. Comment tu t'appelles ça un peu flashmobile. Tu regardes les choses que tu avais jamais regardé et tu les accrédé vraiment avec le corps avec une accélération tourner la tête tu vois des trucs comme ça? Est-ce que j'ai envie de tester? C'est parce que tu as toujours le fait de mettre le casque. C'est toujours quelque chose qui te coupe beaucoup l'environnement et tout ce que j'ai testé au casque. Moi j'en ai fait au casque. On a aussi déjà fait et là je me dis. Il y a peut-être un autre truc à jouer. Enfin je sais pas comment dire mais voilà peut-être pas au casque mais peut-être au casque je sais pas. Sont de la nature avec tous les guillemets qu'il faut mettre? Et puis comment guide? Comment dit-on? Regard aussi pour on le maîtrise aussi parce que le casque il peut amener à un endroit où il y a justement un son que sur lequel tu veux focaliser l'attention de l'écouteur et donc le casque il fait une sorte de tunnel jusqu'au point où toi tu veux nous amener et c'est là qu'on l'enlève. Je me rends compte que je le fais certes par prendre soin de collecte etc. Mais aussi parce que c'est un peu addictif le l'amplification sonore et quand tu es dans un environnement surtout naturel par l'amplification sonore après je pourrais juste écouter et c'est addictif. Quoi c'est vraiment c'est assez dingue que ça en fait ça fait mégorie mais très très souvent beaucoup plus focus que nos oreilles qui sont très très généraliste. En fait des prothèses qui nous permettent d'écouter des choses qu'on n'écouterait pas et je pense que ça c'est quelque chose que j'ai compris cet été. En parlant avec toi et Pablo, je n'arrivais pas à comprendre en fait l'utilité de mettre des micros à certains endroits et c'est là que j'ai compris. Et là c'est bon de cette idée de pouvoir écouter des choses qui ne sont pas appréhendables, même avec nos oreilles, le chant des chauves-souris etc de comprendre qu'il y a des langages aussi qui existent. Mais que bien sûr on peut pas écouter et comprendre mais avec l'aide de ses prothèses on peut en avoir un aperçu. Mais tu vois les tous les fils recordistes ceux qui font vraiment du fil des graines. Moi je suis pas vraiment dans ce domaine non plus. À fond, ils ont vraiment, ils sont hyper addict en effet, à la découverte d'un son que personne n'a entendu. Donc il y a cette idée vraiment d'aller chercher le son donc tu sais vraiment pas d'où ça vient de quoi. Et et Pablo elle avait mis vraiment le l'hydrophophone dans le glacis. Enfin ce que tu dis, passe quelque chose de et c'est à notre portée d'artistes ça aussi. L'autre chose qui est très importante, c'est que d'un seul coup on accède à un monde qui était réservé que aux militaires et aux scientifiques pendant pendant quand même tout le 20e siècle parce que c'était inventé vraiment de copain 20e cette technologie là de microphone et là aujourd'hui nous on a accès à ça en fait donc moi poser mon poser des questions sur ce que j'entends alors que vous pouvez pas l'écouter avant si tu devais pas partie de l'armée ou c'est intéressant parce que d'un seul. 11:12 Si tu devais pas partie de l'armée ou c'est intéressant parce que d'un seul coup. 11:12 On a accès en fait à ça quoi? Une petite dizaine de pistes hier et je me suis arrêté. Je pense sur un truc c'est j'aimerais bien partir mais je sais pas encore si c'est le haut, le milieu et un endroit dans lequel de la présence humaine qui est assez forte. Au début je me disais justement symboliquement c'est prêt aux vaches qui s'appelle rivière. Mais voilà et justement pouvoir jouer à provoquer un dialogue avec des gens autre parce qu'en fait on a rencontré personne d'autre et moi je suis hyper hyper fruité de ça et du coup je me suis dit bah je vais prélever des éléments de la rivière en promenant le long de la rivière et je vais ensuite les re-disposer aux endroits où la rivière disparaît et quel que soit la limite qui est de clôture ou de trucs où j'irai dans le champ si c'est dans un champs et je traverserai la rue avec des petits cailloux s'il faut traverser avec un petit caillou etc et le but ce sera de rencontrer une situation de curiosité. Quelqu'un s'arrête nous demande ce que je fais et lui proposer d'échanger le truc que je suis en train de poser à ce moment-là contre un souvenir, une expérience, une préoccupation, un compte à propos de la rivière et de l'enregistrer et de l'illustrer ensuite. Je sais pas si je vais dans le haut ou le milieu le milieu tu vas avoir des endroits vraiment très urbanisés en fait ouais c'est là où il y a la petite ville là qu'on traverse à chaque fois qu'on l'alliance justement le milieu. Ouais aller vers le haut au milieu mais j'ai un truc le milieu. Ça va être le plus facile cacher. En fait ouais c'est là où ça se cache le business. J'ai l'impression que c'est là où il y a le moins d'adhésion au projet le chemin de la truite là ça te prend 40 minutes quoi et là très vite. Tu vas également il s'arrête donc tu vas. Tu vas devoir trouver des stratégies pour remonter quoi soit tu le suis vraiment. Mais là, il faut peut-être que tu es en train de débattre. C'est un peu profond. Tu peux pas passer juste avec des chaussures pas et sinon sinon tu peux ressortir remonter enfin tu peux quand même. À remonter quand même un peu plus parce que je me dis que le temps de rencontrer créer la curiosité le 40 minutes. Il peut mettre dedans, tandis que ramasser des choses assez rapidement. Je peux le faire je pense et voilà de manière pratique. Il y a peut-être une voiture qui va partir épouser des gens qu'on a pas. Il y a que moi pour la location nous on a 48. Je parle un peu de la vie du Maï Broye un peu puis je reviens peut-être un truc. Et puis tu peux aussi faut regarder les bus parce que c'est un peu la galère des bus ici mais en voiture qui monte jusqu'à froideville justement que tu prends de mordre faites gaffe quand même que dans la forêt il y a pas de réseau. Tu peux tu peux tomber. Elles sont vraiment à la source et à l'embouchure en fait et au milieu c'est genre que des villages en fait. Voilà! Donc voir ce que ça provoque chez les gens en eux-mêmes. Parce que je pense que c'est ce qui se passe entre le réel nutritionnel l'intention de futur de cette rivière. Dévoilée au monde, il y a le côté polyvocal mais si j'en ai parlé de soi en visio mais quelle un truc moi? J'ai chopé d'une lecture du patrimoine là cette année de personnes qui sont en train de bosser sur la question des minorités dans l'écriture du patrimoine et donc la police vocalité qui est cette ce travail autour des musées et des archives, trouver des voix pour exprimer l'ensemble des le plus possible. D'autres voient que celle de l'ambiance dans un fort donc Louis XIV qui a construit son fort en quatre ans avec 1000 personnes. Des personnes qui ont vécu là des animaux qui ont été utilisés par l'armée et la couture raconte mille histoires et donc là c'est peut-être rajouter une petite voix. Elle reprend en fait la phrase d'un journaliste américain qui avait en Amazonie puis qui disait mais qui parle pour le Jaguar. Tout un article sur la question de de la petite dialogue, inter-espèce etc. Déjà des médiateurs. Il y a déjà en fait tout tout un réseau d'acteur en fait les actrices autour de Jaguar quoi et que et qu'en fait elle. Donc elle, elle redit qu'il y a bien toujours une système de domination. En fait, dès qu'on m'aime quand on parle de ces questions qui parle pour le Jaguar en fait, peut-être qu'avant il faut se poser la question de déjà quitte rencontre avec le Jaguar un peuple à côté déjà qui parle déjà Jaguar et je vais prendre soin de la rivière dans leur définition donc c'était pas. C'est ma sonnerie de téléphone mais c'est un numéro de pub qui m'appelle tout le temps et je sais pas si ça va aboutir. Mais moi j'ai imaginé un objet itinérant qui pourrait aller qui pourrait être déplacé de parking ou de village en parking de village. C'est une remarque modulable dans laquelle il y aurait un système de curation de de surtout de collecte de données. En fait, il y aura un micro. Enfin, il y aurait tout le matériel pour collecter en vidéo en audio. La parole des habitants étant du bois pour récolter la parole des gens qui vont un jour mourir puis c'est que de la connaissance orale d'anecdotes de souvenirs etc. Et l'idée étant de recurer tout ça avec un invitant des artistes pour venir rejouer si l'enregistrement extérieur et de faire une bibliothèque vivante et mouvante en fait du porno. Moi j'ai fait un croquis de tout ça. Je suis prêt à le mettre en place mais c'est pas juste pour trouver la financement localement mais bref il y a des initiatives sur ces questions-là qui sont en train de naître aussi un petit peu trop. C'est passionnant en fait. Moi j'avais deux pistes hier une j'ai pas réussi à comprendre comment la traiter. J'étais attiré par tous ces changements de courant de rapidité de l'eau. En fait dans ce cours d'eau à partir de la source avec ses petits volcansé et l'eau qui est ralenti par endroit par l'action du coup de la Maison de la rivière pour permettre à des poissons de remonter. Je trouvais ça après intéressant aussi en terme d'envergure de infrastructure, ce qui nous ont montré à deux endroits différents. Mais j'ai pas réussi à comprendre et je me suis hier. Je l'écoute. Ça peut être aussi une forme de écriture et l'exercice que tu nous a fait faire hier où on a posé des questions à des entités qu'on a rencontré. Je me suis dit, c'est une forme de de d'écriture biographique parce qu'au final les questions qu'on a posées à ces objets ces animaux etc. Nous ont dit un peu de qui était ces entités et et du coup moi la référence que j'avais ramené la référence bibliographique que vous aviez demandé. C'était l'autobiographie d'un poulpe et autres très anticipation du bassin des Prés qui m'a beaucoup marqué et l'exercice qu'on avait fait en Creuse. On avait ramené cet exercice déco. Autobiographie, j'ai tout en fait fait une soupe de tout ça et hier il y a dans les aménagements. Donc par les Jean-François il y avait cette chose de cette falaise où il y a les Martins pêcheurs qui nichent. Ils ont dérouté le sentier et moi. Je savais pas que les nichés de cette manière et ça m'a fasciné beaucoup. Et après j'ai vu un martin-pêcheur là où il y a les pêcheurs allons bouchers du truc et du coup avoir c'est d'écrire l'histoire de Martin le pêcheur de son point de vue donc un peu de fiction. Mais je voudrais aussi voir s'il y a des ressources ici par rapport au martin-pêcheur. Peut-être voir si Damien à deux minutes de lui poser des questions. Il est pas là. Au pire je me balade mais du coup décrire une histoire du de ce Martin le pêcheur aller à nouveau là où il niche voir s'il y en a aller à l'embouchure où j'en ai vu un hier et peut-être aller voir même les pêcheurs qui sont là pour voir si Martin il y a un Martin même parmi les pêcheurs et voir quelle histoire je peux écrire de tout ça. Il y a un nid de barre de pêcheurs juste à côté de l'embouché. Et en tenant compte en fait, tous ces modifications de ce cours d'eau, cette questionnement par rapport à la re-atturalisation d'un milieu. Ce que ça veut dire de déroulement de ce sentier etc. Et en fait, prendre l'occasion pour découvrir le martin-pêcheur que je connais pas et en découvrir plus sur. Voilà! Qu'est-ce que c'est cet oiseau! Qu'est-ce qu'il fait dans sa vie? Une histoire autobiographique du matin? Pêcheur mais peut-être ça va rester beaucoup dans la fiction parce que je sais pas. Une histoire marrante qui racontait à un moment sur quand on était en promenade avec Jean-François que tu as fait tant attendu ou ils avaient pucé toutes les truites. Oui à côté des mots des espèces de boules de direction là et du coup toutes les puces étaient sur le nid de voir comment et qui a l'air d'être peuplé à la fois là-bas et plus ou moins au milieu. Je sais pas s'il va plus loin mais voilà vous. Je voudrais me balader jusqu'au on peut arriver avec le sentier et m'arrêter là et essayer de voir de le voir de le revoir. On est très ouvert sur la question. J'aime bien parler d'exercice avec l'exercice fait moins alors ok nous a écrit si jamais. Donc ma déformation c'est une approche spatiale et du coup aussi le référencement spatial et du coup je me suis faire le premier truc qui m'a fait me dire que j'allais me lancer sur ce que je vais vous raconter. C'est plutôt la largeur du cours d'eau et le fait qu'on parle d'une source et on a rigolément qui me rapporte d'échelle extrêmement vaste du coup immense et du coup je me suis posé la question mais un peu d'abord sous le prisme du jeu de ok. Bah si je prends une feuille dans mon champ de vision si je prends une feuille combien de fois elle fait la taille de la largeur de cours d'eau? Si je prends une pierre combien de fois enfin et un peu ce truc de combien combien donc hier j'en étais là à à me dire que je voulais un peu faire cet exercice. De combien rentre dans combien? Et en me disant que en termes de représentation graphique toujours un peu sur cette de la mise à côté de référentiel qui permet de tordre les échelles et du coup l'idée ce serait que dans le combien dans combien l'élément le plus grand soit toujours la même unité un petit carré? 11:27 Et du coup l'idée ce serait que dans le combien dans combien l'élément le plus grand soit toujours la même unité un petit carré et? 11:27 Aussi et en proportion dans ce carré. Donc là j'en étais là et et du coup enfin par exemple ça pourrait faire. Enfin je dis n'importe quoi mais en gros toujours un peu ce même rapport et l'idée c'est d'avoir à la fin toujours la même taille de carré malgré le fait qu'on parle du lac Léman et d'un caillou. Et du coup après je me suis dit ok bah c'est quoi les éléments référentiels que je choisis? Et là j'ai repris les dessins que tu avais fait dans le carnet pour en extraire certains et du coup j'ai extrait donc la largeur du cours d'eau. Les enrochements artificiels les pierres plutôt naturelles des traces de vie donc plutôt de vie morte. Donc que ce soit les coquillages qui veut au bord du Léman ou les arbres morts et après plutôt un élément végétal. Et du coup quand je me suis dit OK euh ça? Ça peut être mes éléments de base et après quand je réfléchissais à où est-ce que ça pouvait être prélevé ces observations? Je me suis dit que ça pouvait être intéressant d'avoir différents endroits du coup du du cours d'eau où je pense que du coup la longueur. Enfin, la largeur du cours d'eau restera un peu le parce que par exemple les enrochements les oranchements que je pourrais trouver font pas la même taille. Donc je me suis dit qu'il pouvait y avoir plusieurs endroits dans le cours d'eau. Je pense que les deux points de source que ce soit le Marais ou le la source le veulent. Là c'est bien. Je suis un peu interrogée par le le carrefour de la lécher et de l'autre et en point sur aussi. Bah l'embouchure d'élément après ce que je me demandais c'est est-ce que il y a pas un peu un truc à rechercher dans ce home au milieu bas? En fait, à quel moment il y a plutôt dans un aspect en topographique et géomorphiques quelque chose qui se passe. Peut-être intuitivement ce que je me dis dans comment ils doivent l'observer? C'est qu'il va se passer quelque chose de topographie ou quoi. Donc soit il y a cette petite enquête de quelle est la frontière soit peu importe? Juste un point qui est dans ce milieu et qui est dans ce bas. Du coup arriver à ça, ça me donne cinq éléments d'observation et 6 points d'observations. Du coup j'en reviens à un autre système que j'ai pu faire dans d'autres moments qui est un peu sorte de logique en matrice et du coup, ce que je me suis dit c'est que en synthèse graphique de ces carrés l'idée ce serait de les représenter en quadrillage matricielle avec donc là c'est les points de référencement. Là c'est les éléments naturels d'observation et ça donne en gros une grosse grille de noir et blanc entre ce qui est plein et ce qui est enfin plein qui est l'élément petit blanc, ce qui est l'élément grand et et voilà. Et je l'ai appelé cartographie élémentaire au tout début que je suis arrivé. J'ai pris des morceaux du bois puis je les ai. Je les ai mis dans un petit logiciel qui fait des jeux en pixels donc ça c'est marrant parce que j'ai fait une matrice. J'ai fait une matrice de petits morceaux du bois puis j'ai fait un petit bonhomme. Tu peux remonter le. Tu peux remonter le cours d'eau à pixel par pixel aussi des enregistrements sont là-dedans mais du coup je me suis. Je suis passé aussi par une sorte de réduction de une réduction des segments. Ouais alors c'est un jeu en pixel mais tu l'avais explosé avait une femme. C'est un objet pas fini. C'était juste comment dire un objet de recherche du début? Comment s'approprier aussi le terrain dans lequel tu arrives? En fait fantastique mais ça je suis hyper heureux parce que ça il y a plein de choses qui résonnent avec ce que vous proposez qui ça me rend. Ça me rend hyper ça me plaît énormément parce que ça résonne avec plein de trucs. Je me questionne juste mais c'est trop bien en fait d'avoir des cerveaux qui viennent vous coucher avec je pense le lancer pour le groupe de recherche. Les questions de faire une restitution et ce sera où pour des raisons pratiques, il y a une personne qui avait écrit Michel demain matin vers 10h et d'un point de vue pratique, je vous ai compter ça à la maison au moins autour de la Maison de la rivière. C'est juste pour avoir. Donc si on résume vous voulez écouter je vous Lise le oui bien sûr. Mais pour le demain le programme titre l'idée ce qu'on se fasse quand même ce temps de restitution. On va voir Damien il sera là. Je sais pas si ça là mais faire cette Michel qui sera là aussi et peut-être qu'après on mange et avant de repartir ce qu'il faut repartir assez tôt, il y a le premier train à 16h30 je crois donc pour pas être trop dans le rush. Euh l'idée c'est qu'on quand même comprendre ce temps après manger de qu'est-ce qu'on fait de tout ça? Et où est-ce qu'on va? Est-ce qu'elle forme ça prend? Et voilà on aura pas résolu tout le problème mais comment on sache? Toutes les envie de faire une chose et donc son du bois rond. Cette protocole par Laurent s'il te plaît. 1. Choisir un endroit attrayant ferme les yeux lorsqu'on se sent prêt prête décider du début du morceau de la pièce du trac de la composition de l'oeuvre l'écouter ont décidé la fin entre 10 secondes et 10 heures plus tard. Ouvrir les yeux de choisir un endroit attrayant. Profondément écouter son paysage sonore après un moment, fermer les yeux et imaginez ce paysage dans un état différent nuit. Plie vide bondé festif quels sont si ajoutent ou se retirent? Pouvez rouvrir les yeux et revenir à l'instant trouver et entendre cinq situations différentes dans le paysage sonore. Choisir un son se focaliser sur ce son en en regardant la source. La suivre si nécessaire lorsque le son est perdu, s'est arrêté ou que l'on souhaite changer de son en trouver un nouveau répéter jusqu'à la fin du morceau. Choisis un son continue ou répéter rivière. La croûte avec tricité s'en éloigner jusqu'à ce qu'on a l'entende plus chercher l'endroit après. Si oui, disparaît puis choisir un autre son à son éloigner. Répéter jusqu'à la fin du morceau. 5. S'approcher le plus près possible du bord du lac. Écouter la plus petite vague et en suivre la fréquence rythmique est un brique peut-on exactement prévoir la suivante? 6. Marcher dans les feuilles lentement et régulièrement écouter chaque pas. Y en a-t-il deux identiques? Est-ce même possible de produire de l'identique 7. Se munir d'un enregistreur ou téléphone? Trouver un endroit qui vous intéresse qui nous attire durant 5 minutes. Cartographier en temps direct tous les sons entendus dans le paysage sonore de la manière la plus précise possible. Typologie intensité direction distance en même temps. L'enregistrer dans quelques jours, se souvenir de ce moment est le décrire en tentant d'en retrouver tous les détails. Puis, à l'aide de l'enregistrement le transcrire de la manière la plus précise possible, prendre le temps nécessaire et écouter comparer les trois documents. À propos des voitures du coup? Guillaume. La question du repas qui va se poser qu'il est déjà 11h30. Ça va super vite chacun et chacune des salles on se dit autonomie. Moi j'aimerais bien répéter le protocole plusieurs fois des endroits différents mais mais du coup je. On commence à la source. Est-ce que est-ce qu'il y a un chemin pour descendre un bout? Parce que je prends des bottes et puis je parle à l'aventure. Enfin après moi aussi je dois descendre là. J'ai dit que je faisais 6 points mais je peux réduire. Je peux faire genre trois points. Moi je peux faire alors je te sur trois points. Je peux te suivre aussi parce que c'est des protocoles qui prennent du temps. Là c'est genre. Chaque fois il faudrait je pense rester bien une heure. Moi j'irais bien la source pour enregistrer la source avec un hydrophophone. Donc je veux bien prendre l'autre voiture là que je suis seul à pouvoir courir amener quelqu'un à la source et puis on redescend qui n'a pas besoin d'être véhicule moi priori bah au milieu à le milieu. Quelques heures que il y a une voiture. Et ensuite je vais me bouger tout seul en fait et moi je peux dire que je ferai mes trucs et que si on se donne un horaire et ben je m'en remets alors au même point où j'ai été déposé. Après tu vois la telle que ça se profile il là je suis toute seule dans la voiture donc moi je peux être en volant et venir te rechercher aussi. Moi je commence par en bas comme ça je remonte parce que je maîtrise mal le truc mais il y a cette histoire de pas ramener de l'eau du bas vers le haut c'est ça? Du coup je vais faire hydrofon en haut c'est pour ça que j'aimerais faire la source maintenant. Ça va être rapide et du coup je file en haut comme ça je te récupère en disant en se disant que toi tu auras eu ton heure pour travailler et sur le retour potentiellement pour shop on se donne un horaire à peu près et 11h40. On va faire les sandwichs. On va partir à midi et donc ça veut dire que on se retrouve quoi à 14h j'oserais c'est juste. Je pense que si on part à midi car le temps d'y aller. Ah non, vous vous partez direct? Ok donc on va prendre des marges à chaque fois ça fait une 45. Donc ça veut dire 14 on a moi j'aurais peut-être j'aurais fini en haut mais après je peux je peux. Je peux essayer de me déplacer ailleurs à pied. De la source du Boiron sel avec les petits boutons et à l'autre, tu peux le faire. Appeler la distance, les deux sources, notre marais, le grand marais. Ouais biens différents. Moi c'est intéressant pouvoir 15h. On va vers le milieu. Nous on fait nos trucs à la fin du milieu parce que du coup ça nous fera arriver à 14h10. Je remets le lieu. Tu as 50 minutes pour faire son truc du milieu? Très ton truc et ensuite Peter vous le récupérez enfin après voilà. Parce que 14 heures. Peut-être on part à 19 ce soir avec exceptionnellement. Moi je dirais peu importe. Ça dépend ce que chacun a besoin de faire et par exemple je sais que moi une fois que j'ai fait mes relevés c'est que de la production graphique et je peux être n'importe quoi. Un truc de soit retourner là-bas avant ma visio avec des groupes de personnes qui en fait sont plutôt confort de produire depuis chez toi soit inversement mais je sais pas. Je vu que ça ferme à 18h. Je vous avais pas si vous pouvez rester là-bas. 11:43 Je vous avais pas si vous pouvez rester là-bas. 11:44 Est-ce que par exemple il y a d'autres personnes que ça intéresserait de de partir à 16h d'ici y compris toi si tu? Ça veut dire quoi partir pour retourner coopérative pour travailler sur la production plutôt coopérative? Moi je peux aussi. Je me mets dans un coin donc si ici on dit on peut arriver. On peut rester dehors. Moi je me mets sur un mode wifi ici ici c'est bien. De toute façon cette salle on peut pas la voir l'après-midi. Personne qui rentre à 16h sont encore une fois bien sur son sacrifiée dans cette salle-là. En fait ça je peux travailler à une femme partout bon bah du coup on se dit départ 16h pour nous trois et enfin moi je travaillerai depuis l'espace commande et après on est loin. À la coopérative dans la chambre, c'est un petit panneau avec le code je crois. Ok cool! Nous avons eu dans la chambre juste à côté de la porte. On se retrouve sur le parking à 16h et après moi. Après je te prends le joint qui vient me chercher à 14. Du coup on aura encore une 50-40 minutes entre enfin ici avant de enfin après avoir récupéré les Tom. Vidéo. Si tu veux demander je prends des papiers vous prenez des bouts de papier que je voulais coller avec un petit bout de scotch. Ah ça dépose aussi formidable. Oui on peut. Oui oui on leur demande ou en fin de journée dès qu'on est là et qu'on pense être un peu. Je ne manquerai pas de revenir vous allez?